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NJEL BA TADA
20 septembre 2011

S’IL EST GAEL, ALORS C’EST... MON FILS !

 

On raconte qu’il y a plus de deux mille ans, un ange venant tout droit du ciel annonçait qu’un enfant naîtrait Gael-Monfilsparmi les humains et qu’il pacifierait la terre entière. Dans cette histoire racontée de bouches à oreilles et de tablettes à bibles, le Héros promis pour la joie et la paix s’appelait « Jésus ».

A entendre les uns et les autres sur un fond plus que jamais sportif, l’histoire ne s’est pas répétée en France, elle a fait mieux en nous donnant un enfant bien sculpté, né le 1er septembre 1986 à Paris, d’un père et d’une mère élevés sur le sable chaud et sous les cocotiers des îles françaises. Bien sculpté, cet Apollon né de l’union de deux personnes élevées sur le sable chaud et sous les cocotiers des îles. Chez les volatiles, cela s’appelle du "plein air". Loué soit celui qui trouva cette expression bien chère au département français du Gers.

N’empêche, notre champion reste après tout un coq, un vrai. Ce guerrier doté d’une grande combativité va t-il bientôt remplir sa mission ? Nous trouverons-nous un jour, grâce à la magie d’un fabuleux maniement de raquette, frères et sœurs, sans distinction de couleurs comme le veulent les églises et les républiques?

 Yannick Noah et les autres s’y sont essayés en leur temps ; Il faut gagner. Ceux qui perdent ne sont pas des nôtres, ils ont manqué leur intégration. Oser citer le mot « intégration » ? Même en parlant des gens nés à l’intérieur de leurs propres frontières ? Quelle absurdité de l’humain ! Tout comme faire d’un enfant métis « un noir », jamais un blanc alors qu’il est la somme de deux sangs qui ne portent d’ailleurs en eux que la même couleur.

Notre enfant perd de temps à autres sur le terrain sportif mais il n’y a pas de doute, il nous revient toujours et plus fort.

Dans un cas de divorce, il est à facilement imaginer que l’on vienne à confier la garde d’un métis à son père ou à sa mère qui est blanc ou son contraire. Alors voilà un enfant étranger dans la famille alors qu’il est bien d’elle.

Que les roses soient vertes, bleues, rouges, blanches ou même roses, qu’importe, ce sont des roses, elles nous renvoient toutes la même beauté. Mais retournons à notre pitchoun.

La différence entre cet enfant qui vient de nous naître à Paris et Jésus, c’est que celui venu il y a plus de 2000 ans demeure BEN YOUSSEZ pour certains, et fils de Dieu pour d’autres. Quoique l’on fasse, on ne lui reconnaît que deux pères et une mère. A la rigueur, UN SEUL PERE efface tous les autres parents et s’impose.

Quand à l’actuel qui se prénomme Gaël, il suffit seulement de le citer pour se l’approprier. Il a autant de parents que d’humains sur terre ; Juste le temps de le citer et l’on devient parent d’un grand et beau musclé, sans distinction d’âge ni douleur.

Reprenons à présent et en chœur son nom pour voir combien il est le nôtre : GAEL MONFILS. Le plus curieux c’est qu’il ait aussi un fils : son propre père.

Mais faites attention mesdames, si vous voulez parler du père de Gaël. A côté de votre époux, ne dites jamais « le père de MONFILS ». Votre homme croirait que vous voulez parle lui. S’il a toujours trouvé que votre enfant ne lui a jamais ressemblé, il vous demanderait alors des comptes. Ce genre de scandale peut être facilement évité en famille.

Allez de l’avant, MONFILS, tous vos parents vous soutiennent. Donnez-nous du rêve, nous en avons besoin.

 

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